Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Don't Stop Believing

Don't Stop Believing
Publicité
Archives
17 octobre 2007

Un baume au coeur - Enfin...

Souvenirs, traîtres tueurs qui me poussent à souffrir!

Comme Johan, beaucoup portent en eux une fléche en plein coeur. Elle fait partie d'eux et définit en quelque sorte ce qu'ils sont: des mélancoliques.

Elle conditionne leur raison d'être et les raméne toujours dans de douloureux souvenirs pas encore tout à fait révolues. Elle porte aussi leurs rêves et leurs fatalités, elle les porte comme on porte sa croix (avec une foi inébranlable). Elle sourit, pense et pleure avec eux. Elle les rend triste (même s'ils essayent de le nier), et leurs répéte sans cesse qu'il est nécessaire de souffrir pour mieux grandir.

Une fléche qu'ils traînent depuis tellement d'années qu'elle finit par ne plus faire mal. Qu'ils en arrivent même à sourire parfois. Mais dès qu'ils se sentent seuls, quand les gens autour d'eux ne sont plus là pour les soutenir ou pour leurs faire penser à autre chose, ils chavirent. Ils souffrent comme ils n'ont jamais souffert, et c'est d'autant plus dur quand ils se souviennent une fois encore de toutes les raisons qui les ont amenés à porter cette fléche comme on porte un fardeau. C'est douloureux. Triste. Presque insoutenable...

Je suis de ces hommes là. L'un de ces rêveurs désabusés. L'une de ces fléches aux envies contradictoires, tournée vers le passé avec la peur de l'avenir. De ces gens qui chutent face au poids et à l'amertume d'une vie insatisfaite ou insatisfaisante. Éternel idéaliste dans l'âme - dans le coeur - et dans la tête.

Mais la réalité. La vraie la dure, l'impitoyable réalité, se résume très bien à une citation de Larry dans Closer, entres adultes constentants lorsqu'on porte la fatalité pour état d'âme: "Un depressif aime se réfugier dans la depression, car sans ça, il verrait la dure réalité de la vie". Un peu comme un blogueur à qui on empêcherait d'écrire, il aurait l'impression de se créer des remparts, de se couper les ailes de soi-même...

It's all... for the moment.

Publicité
Publicité
7 décembre 2006

Nobody in the Street

Un réveil qui sonne et le vent qui frisonne...

Aujourd'hui 3h du mat', je peine à dormir malgré mon énergie à y mettre du mien. Assis au fond de mon lit, j'ai encore cette impression que tout m'échappe, que je ne sais ni créer ni saisir les opportunités.

Et comme d'habitude dans ces moments là, je m'enfile un sweat-shirt, je prend mon Ipod, puis je vais courir une heure ou deux; pour décompresser, pour oublier tous ces doutes qui me rongent. Pour me laisser traîner par le vent et suer toute la frustration qui m'anime.

Et peut-être bien que je ne le constate jamais assez mais comme c'est reposant que de voir une ville plongée dans le noir. Une ville en plein sommeil pendant que vous, vous tracez sur la route. De savoir qu'il n'y a personne à l'exception de quelques clochards ou de quelques noctambules en mal de bières après une soirée trop arossée; de quelques personnes qui traînent à faire une promenade à l'abri de tout, aussi bien des chauffeurs qui se prennent pour Michaël Schumarer que de la populass' en masse.

Et je cours. Je cours sur la route. Je cours sans but et sans issue mais je cours. Et je trace. Je trace dans les rues et dans Paris. Je trace au détour de plusieurs virages mais je trace. Et je ne cesse de courir et de tracer. Je ne cesse, de toutes mes forces, de vouloir défier le temps, de vouloir gagner contre le vent.

Et bel effort que de vouloir reprendre sa vie comme on reprend son souffle. Avec courage et difficulté, on peine à y arriver mais on y arrive, envers et contre tout, envers et malgré tout, on y arrive.

Le tout est d'essayer. Et même si certains d'entre nous portent le poids d'une vie insatisfaite, on se rend compte malgré tout qu'il ne tient qu'à nous pour que tout cela change. Que comme la riviére qui coule et qui ne cesse de couler, que comme les nuages qui voguent et qui ne cessent de voguer, la vie est ce qu'elle est, et qu'à force de ne rien faire pour changer, on passe pour un éternel insatisfait.

Alors trace.

Alors cours.

Et vis.

7 décembre 2006

My wandering spirit of the words

623319823_small

Parceque les poémes y en a qui les déteste et d'autres qui les aime, et d'autres encore qui en écrivent par convention et opportunisme. Ne jamais renoncer à toucher le coeur des gens.

Et bien qu'on ne soit ni Verlaine, ni Baudelaire ou ni même Rimbaud, qu'on soit plus ou moins proche d'un jongleur de mots, qu'ils nous arrivent de faire des fautes ou d'écrire en langage sms le tier du temps où l'on est sur le pc, il nous est déjà tous arrivé de vouloir mettre des mots sur ce que l'on ressent, vouloir clamer haut et fort à celle qu'on aime à quel point on l'aime.

Parceque ça permet de se défouler, voilà quelques uns de mes poèmes :

Pour bientôt

Je rêve sous la pluie de te serrer très fort.
Je rêve chaque nuit à l'ôdeur de ton corps.
De nos rires à nos larmes, je me souviens de tout,
Chaque jour, de t'avoir aimé comme un fou.

Te rappelles-tu encore de toutes nos promesses,
De nos baisers, nos étreintes de tendresse.
Te rappelles-tu de nos promenades improvisées
Où pour la première fois nos mains se sont croisées.

Attend moi ma mie, mon amie, mon âme soeur,
Toi ma dulcinée pour qui je courbe l'échine.
Mon amour qui chaque jour fait battre mon coeur!...

Loin de toi, mon être tout entier crie famine.
Sans regret ni remord, je sors le couteau,
A l'ombre de la mort, je te rejoins bientôt...


Petit poème

Elle a fermé les yeux, elle a tendu l'oreille,
Le temps d'un 'pardonne-moi, m'aimes-tu encore?'.
Elle pleure comme une enfant, blessure de la veille
Priant que je la délivre de tous ses torts.

Elle me dit tout bas qu'elle a très très mal au coeur
Qu'elle pourrait mourir si j'en exprimais l'envie.
Que sans moi, sa vie n'est qu'un berceau de malheurs,
Qu'elle a besoin de moi pour marcher dans sa vie.

Touché, je serre le poing comme on serre la douleur,
Dans son étau, avant qu'elle ne décourage.
Blessé, je m'en vais avec seul mon deshonneur.

J'ai beau la détester, comment tourner la page.
De celle que j'ai aimé, elle est restée la même;
Va petit poème, dis lui ô combien je l'aime.



Tel est pris qui croyait prendre

C'est l'regard determiné qu'il s'en va en guerre
Jurant de mettre à terre l'objet de sa colére.
Le fusil par dessus l'épaule, l'oeil effronté,
Le voilà prêt à tuer son ennemi juré.
------------
Discret mais fugitif, le voilà attentif
Aux moindres faux pas d'un homme à l'offensif.
Il a peur de mourir, il a peur de souffrir
Car beaucoup de ses frères il a vu périr.

Alerte et intuitif, il cherche à se cacher,
Non sans peine, il court à travers tous les dangers
D'un homme qui veut à tout prix le capturer.
------------
Debusqué, il tira une balle efreinée.
'Raté' mais pas grave, il reviendra demain
Non sans peine, pour tuer ce satané lapin!


Inspiration du poète
 
Je léve les yeux, je rêve et mon coeur s'éleve
D'amour et d'évasion, caresse à la passion;
Tu esquisses ma vie, tu dessines mes rêves,
Être ton ange gardien, telle est ma mission.
 
Mais fugitive, douce illusion, je t'imagine.
Je ferme les yeux, je rêve et mon coeur s'anime,
Car tout chez toi est merveille qui me fascine,
Voila ce qui me pousse à écrire ces rimes.
 
Dans un monde éternel emplit de mystères
Est mon âme, dont tu en es l'unique héritière
Inspiration du poète, Élue de mon coeur.
 
Douces confidences tendrement murmurées,
Qui ne se résume qu'en un très chaud bonheur
D'un amour à jamais couché sur le papier...

7 décembre 2006

My Pencil for My Friend

Regarder, ressentir, interpréter puis écrire...

Ecrire que ce l'on ressent, ce que l'on vit. Ecrire pour montrer avec un certain recul une part de sa propre intimité. Ecrire pour se livrer, pour épencher sa soif d'idéal. Ecrire pour cultiver tous ces moments qui prennent de la valeur seulement quand on sait qu'on ne les revivra plus jamais. Ecrire pour avouer ses doutes et la fragilité de sa propre existence...

Puis écrire ses états d'âme, son ras-le-bol général et avoir marre de tout ce qu'on désire mais qu'on ne posséde pas. Marre de s'abandonner dans la douleur et de s'y complaire sans forcément s'y faire. Marre de se lamenter sans rien faire et de croire que l'enfer c'est la vie sur terre. Marre d'esperer pour esperer tellement on a perdu les objectifs de nos vies et les moyens d'y arriver.

Tout autant que nous sommes, ça nous ai déjà tous arrivé d'avoir des coups de barre, d'être pensif ou mélancolique. De regarder dans le vague à l'intérieur d'un café et de voir déambuler derrière la vitre, tous ces gens qui se croisent s'entrecroisent et qui s'ignorent, des gens comme vous et moi. Des gens monotones qui sans le savoir sont tous à la recherche d'une envie soudaine, d'une folie extravagante, de plaisirs simples et pourtant sans prix.

Quelque part on est tous au fond de nous des APDS (Ados Pseudo-Depressifs Suicidaires) car bien qu'on ait les pieds sur terre, on prend conscience à un âge où l'on a plus forcément le temps de croire que la réalité ne sera jamais à la hauteur de nos idéaux. Que tous les rêves qu'on a su bâtir à la force de nos âmes étant petits ne se réaliseront jamais. Qu'on nous a peut-être bien berné. Mais surtout qu'en grandissant, on oublie l'enfant qu'on a été pour se concentrer sur l'homme que l'on va devenir. Être un ADS n'est pas tant dans le fait d'être un ado dépressif ou suicidaire, mais bel et bien d'avoir perdu la volonté ou la force de s'opposer à la fatalité.

Mais néanmoins, comme dirait Malraux, "la vie ne vaut rien mais rien ne vaut la vie".

7 décembre 2006

Save the last Song

Je suis sûr...

Je suis sûr que vous avez déjà dû entendre, dans un silence qui se pâme, une mélodie venir frôler votre âme.

La chaleur d'un violon, le réconfort d'un piano. Sentir ses mains se réchauffer à la lueur des émotions qui nous habitent.

Quelque part, la musique c'est voyager en dehors du temps car au delà de simples paroles, de simples notes, c'est surtout une chanson qui vous rappellera l'enfance où tout semblait simple et facile, où tout semblait magique...

Le soir, s'étendre sur son bureau, mettre une ballade au piano ou au violon et penser à toutes ces personnes qu'on a aimé ou qu'on a perdu. Mais toujours se souvenir de tous ces bons moments partagés avec tendresse. Sentir cette nostalgie venir vous tapper l'esprit et pleurer.

Et sourire même quand les larmes vous semblent inévitable. Quand votre vie vous échappe. Quand vous aimeriez que vos peines s'évanouissent.

Aimer s'imaginer autre part. Dans les bras de la personne qu'on aime et sentir son coeur battre au fond de sa poitrine. Sentir sa chaleur venir parcourir ton corps et se sentir la force de soulever des montagnes. Aimer jusqu'à perpetuité tel un condamné à mort. Mais on a toujours cette impression. L'impression que le temps passe trop vite et qu'on a pas eu le temps de faire grand chose si ce n'est estomper des amitiés dans les rides du passé ou collectionner les rendez-vous manqués...

Puis de nouveaux entendre les guitares qui nous rappellent tout ce qu'on a perdu, tout ce qu'on a gâché et tous ces moments qu'on ne revivra plus jamais...

Quelque part, aimer la musique, c'est aimer souffrir car bien qu'on le nie souvent, on se raccroche parfois, et plus souvent qu'on ne le croît, aux branches du passé, comme par peur de l'inconnu par peur du futur; par peur d'être déçu ou de perdre ce que l'on a de plus pur : nos rêves nos idéaux, et notre courage à toujours y croire...

Publicité
Publicité
7 décembre 2006

Sad Day - Melancholy

Un peu de prose dans ce monde de brute...

Le temps qui passe... Déjà... J'ai beau tenter de crier ou même de hurler, de mettre des points d'exclamations un peu partout, des points d'interrogations aussi, mais rien à faire... Ca ne servirait à rien, sauf à me rendre encore plus pathétique que je ne le suis déjà en écrivant ces quelques lignes ponctuées de fatalités plus ou moins banales et ordinaires.

Je crois que j'ai peur. Peur du temps qui gouverne mes souvenirs. Car j'ai beau fermé les yeux, j'y vois toujours le même émerveillement face à une enfance pas facile, mais qui regorge de bons souvenirs malgré tout, des petits détails qui rendaient aux yeux de l'enfant que j'étais une vie plus colorée et moins triste, beaucoup moins triste qu'elle ne l'était... On m'a pourtant souvent dit que la souffrance permettait de juger les bons moments à leur juste valeur. Mais j'ai l'impression que petit à petit, j'en perd le sens profond...

Lorsque je n'étais encore qu'un tout petit garçon, je souffrais mais j'arrivais à percevoir toute la beauté du monde. Maintenant que je suis grand, j'ai l'impression de n'être qu'une épave qui a eu son lot de malheur et de bonheur, mais à qui il ne reste que la mélancolie pour seule compagnie. Une épave parcequ'à trop penser; à trop douter aussi, on ne fait rien et on finit par sombrer petit à petit...

Lorsque je ferme les yeux pour envisager mon avenir, je le vois voguer sur le temps qui me glisse entre les doigts, au bord d'un rivage semé d'incertitudes... Et lorsque refermant les yeux pour y voir un peu plus clair, seule la tristesse d'un passé à jamais perdu resurgit.

Finalement, la verité, c'est qu'on ne connaît aucune réalité qui soit à la hauteur de nos idéaux...

Mais quelque part, ce qui fait le plus mal dans tout ça, c'est que j'ai beau soupirer aux âffres du mécontentement, à me laisser étreindre dans les bras de la lamentation, je garde malgré tout espoir. L'espoir de trouver quelque chose de grand, de beau et d'unique. Quelque chose de sincére et d'entier, l'amour peut-être. Le tout est d'y croire, ne jamais cesser d'essayer de s'en donner les moyens.

7 décembre 2006

All dies but nothing disappears

_sofa_by_atomic_x

Quand un regard vous frôle et vous impressionne,
Quand c'est pour un autre homme qu'elle se passionne.
Quand elle sourit, qu'elle rigole, qu'elle sourit encore,
Quand c'est ce qui vous pousse à l'aimer sans effort.

On ne le dira jamais assez...

mais comme je le dis assez souvent, les femmes qui s'assument sont celles qui m'impressionnent, car bien que je connaisse des filles plutôt belles, et bien qu'elles soient belles, elles ne dégagent pas quelque chose qui te pousse timidement à aller vers elles. Elles sont peut-être bien foutues, atout non négligeable pour la plupart des mecs, mais ça n'enflamme ni la passion ni la curiosité. En fait, bien qu'elles soient belles, elles ont une beauté banale.

Alors que les femmes qui s'assument prennent tout de suite de l'ampleur. Un regard intelligent, un sourire sans contention ni artifice, une attitude simple et pourtant pas dépourvu de classe. Quelque part, elle impose le respect. Le genre de femmes où simplicité rime avec complicité.

Surtout qu'une personne impressionnante est une personne en accord avec elle-même. Quoiqu'elle porte, c'est l'attitude qui sait faire toute la différence. Une fille qui saura aussi partager ses peines et ses doutes, et qui comprendra aussi bien mon besoin d'indépendance que mon besoin de solitude. Une fille qui respectera mes choix sans forcément les adopter (car j'estime qu'"aimer une personne, ce n'est pas se regarder l'un l'autre mais c'est regarder ensemble vers la même direction". Puis il faut aussi qu'il y ait des contradictions (car j'ai moi-même des envies et des sentiments contradictoires) pour faire avancer un couple. Avoir un certain sens de la répartie ainsi que des désaccords pour alimenter nos conversations. Essayer de nouer des moments rien qu'à deux , avoir des discussions fluides et intéressantes sans mal au crâne.

Et surtout une fille qui bien qu'amoureuse ne sera ni jalouse ni possessive. Et toujours une fille sans prise de tête, simple, qui ne se prend pas au sérieux mais qui sait l'être quand il le faut. Une fille qui ne s'habille pas trop mal aussi, j'veux pas d'un sac poubelle ambulant (nan pas macho, juste un gars superficiel (comment ça c'est pire...)).

7 décembre 2006

Notified Identity

image395oo28731618

Parcequ'il faut bien commencer quelque part...

Moi d'après une ancienne amie...

'Rêveur, dans un ailleurs une utopie
Tu te débats face à la vie
Elle te déboussole, te dépasse
Mais malgré tout, tu ne te lasses
De la défier
De vouloir gagner
Tête dans les nuages
Tu pars en voyage
Vers un idéal, une utopie
Que tu ne trouves pas ici
Tu t'y réfugies
Tu t'y enfuis
Pour te ressourcer
Pour t'y retrouver
Et de nouveau te retourner
Vers ce réel désenchanté'

Je m'appelle Roland, parisien 19 ans et d'origine chinoise.
Je pése (même si on s'en fout) 72kg pour 1m80.

Autre l'écriture que je pratique durant mes heures de galère, j'aime le tennis (avec quelques années de pratique), le billard, les fringues (un peu beaucoup énormement), lire, me poser dans un pub ou un café, regarder les passants, pianoter sur mon pc, dormir, la bonne cuisine, réflechir seul sur des questions hautement philosophiques non moins existentielles, écouter de la musique, le ciel sous toutes ses formes, voyager, le cinéma, l'air frais du matin et les légères brises les soirs d'été, les soirées pizza-dvd entre potes, les gâteaux au chocolat.

J'aime aussi le café, préfére le chocolat, adore le thé. Courir certains matins quand le temps ou l'envie me le permet. Dormir tard se lever tôt, le contact de l'eau sur ma peau (peut rester des heures sous la douche), les sorties sauf les boîtes bien qu'on m'y force souvent à y aller, rouler parfois des heures sur la route, les séries télévisées avec ou sans grand intêret comme Grey's Anatomy, Veronica Mars, Boston Justice, Les Experts, Nip//Tuck, Heroes, Las Vegas, Felicity, Modern Men, etc...

Et voilà quelques questions des chaînes mails auxquels j'ai répondu : 

LES SURNOMS QU'ON TE DONNE :
Ruru - Roro - B' Ro - Mon (pti) lapin - Mon pti fashion...

TON LIVRE PREFERE :
La joueuse de Go de Shan Sa et Le portrait de Dorian Gray par Oscar Wilde...

LIEU PREFEREE OU PASSER TES VACANCES :
Le lieu n'est pas le plus important, mais ce qu'on y fait une fois là-bas;
Mais j'aurais tendance à dire Shanghai, Londres, New York, Canada ou Tokyo.

QUEL EST TON CHIFFRE PREFEREE :
2.

TA CITATION PREFEREE :
Y en a plusieurs mais j'aurais tendance à dire :
'Les plus grands ne sont pas ceux qui ne tombent jamais, mais ceux qui se relévent toujours'...

LE SENTIMENT LE PLUS BEAU QUI EXISTE :
Tout sentiment est neutre, le tout dépend de quel côté et du degré d'intensité qu'on y met. Quelqu'un de possessif peut être attachant quand c'est à un faible degré, mais excessif quand c'est étouffant. Pareil pour la haine (qui peut servir à se dépasser ou se détruire), la colère, la tristesse, etc...

SI TU ETAIS UN ANIMAL :
Un homme.

A QUOI PENSES-TU AVANT DE T'ENDORMIR :
A me demander quand je vais m'endormir...

POURQUOI L'AMOUR EST TRISTE :
Parce qu'il n'est pas consommé.

LA PLUS BELLE VERTUE :
La patience quand je suis impatient / Le sens des valeurs / Ne pas se prendre la tête.

QUE FAIT TU POUR TE DEFOULER :
Courir / Écouter de la musique.

LE MOT QUE TU DIS LE PLUS SOUVENT :
'Tu vois c'que j'veux dire?...'

OU SERAS-TU EN 2010 :
Sur la terre (comme des millions d'autres individus).

SI TU POUVAIS AVOIR N'IMPORTE QUEL EMPLOI, CE SERAIT QUOI :
Écrivain ou PDG d'une multi-nationale.

COMMENT APPELLERAIS-TU TES ENFANTS :
Pour une fille : Eileen, Elohin, Louna ou Rachel.
Pour un garçon : Ruyan, Hugo, Enzo, Raphael, Nathan, Lucas.

QUELLE EST LA VOITURE DE TES RÊVES ?
La porsche 911 Carrera4S Cabriolet.

QUELLE EST LA PREMIERE CHOSE A LAQUELLE TU PENSES LE MATIN AU REVEIL :
Que je suis encore en retard.

AS-TU UN TIC OU UNE MANIE :
Mordiller la lèvre inférieure.

UNE CHANSON QUI T'ENDORS :
Rien ne vaut le souffle de celui/de celle qu'on aime au creu de son oreille. ^__^

FRÈRE(S)/SOEUR(S) :
Deux fréres, un grand et un petit; mais le petit vit en Italie.

CHOSE QUE TU FAIS EN RENTRANT DES COURS :
J'me prépare un goûter et j'me pose devant le pc.

Publicité
Publicité
Publicité